En liberté, fierté?
Ce bon peuple qui s’égare, gare.
Nostalgie d’un lys étouffé, décoiffé.
Le vent maussade, des pas sonnant le glas.
Un mât, tour de Pise, souffrance, aberrance.
Le ridicule dont les idées sont obtuses, impromptues.
Influence notoire, macabre, l’hypocrisie, paralysie.
Quelques larmes de rage, l’extrême carnage.
En ce matin, j’imagine noblement un drapeau déployé.
Une fleur de lys solide sans ride.
Des bras inflexibles vers un avenir bleuté… entrez!
André, épervier
Vous avez aimer ces photos,
elles viennent du Kébec,
région de Mont-Laurier.
André, épervier
1. gegedu28 le 29-10-2015 à 06:55:18 (site)
Bonjour,
Je vois que c'est également l'automne chez vous.
La nature est en pleine mutation et nous offre une superbe palette de couleurs en ce moment.
Bonne continuation.
Gégédu28
Un livre percutant que je conseille à tout le monde.
André, épervier
Ayant découvert Michel Jean, l’auteur de fiction, l’an passé avec son livre Elle et nous qui retrace, de manière romancée, en alternant réalité et fiction, la vie, mais surtout l’enfance de sa grand-mère Shashuan Pileshish (devenue Jeannette Gagnon), au sein de la communauté indienne Innu, j’avais hâte de lire ce deuxième roman, Le vent en parle encore basé sur la réalité qu’ont vécus de jeunes Innus, alors qu’ils ont été déracinés et envoyés de force dans des pensionnats indiens pour tenter de les assimiler.
Voici ce que Michel Jean m’avait dit sur le sujet de ce livre, alors que je l’avais rencontré au Salon du livre de Québec l’an passé. Et sur quel projet travaillez-vous maintenant?
« Je suis en train d’écrire un autre livre, qui sera complètement différent, mais qui va traiter des autochtones. Cela va parler des pensionnats indiens. Je ne savais même pas que cela existait au Québec. J’ai fait des reportages là-dessus dans l’Ouest canadien, et je me suis rendu compte que des membres de ma famille se sont faits envoyés dans des pensionnats à la Baie James, à l’Ile de Fort Georges, où ils ont été agressés sexuellement. Ce sera un livre plutôt dans le style d’un thriller, genre d’enquête, avec comme trame de fond, le pensionnat.»
En ce mercredi nuageux, je suis calme et reposé.
Je respire d'aise et j'en suis fort heureux. Le plaisir constant
de composer allège mes pensées. La fierté de le dire
m'apaise énormément.
Je suis Poète et privilégié de posséder une plume
qui me suit constamment.
Bientôt, 69 ans! Qui aurait dit me rendre à cet âge!
Vieillir me fait peur, vraiment peur.
Être à la merci des gens n'est pas une option de ma part,
mais pour l'instant, je vis, je me véhicule... un bonheur à
partager... et pourquoi pas!
Citation personnelle:
L'écriture n'a aucune frontière,
seulement de l'amour et de l'amitié.
André, épervier
1. fafa12 le 14-10-2015 à 11:58:23 (site)
bjr
merci pour ton com je visite ton blog apres avoir postée mon com.
je te souhaite de passé une bonne aprem.
Commentaires